Après 5 jours de repos au retour du marathon de Québec, j'ai fait un petit de jogging de 10K pour voir s’il n’y a pas de bobo de la dernière course.
Apparemment, la petite douleur sur le dessus du pied durant la dernière course semble sans conséquence. OUFFF!
L’an passé je suis revenu de Québec avec les tendons irrités sur le dessus du pied avec comme conséquence, 8 semaines sans être capable de courir. Aucun training de course possible entre le marathon de Québec et celui de Toronto 8 semaines plus tard. Vélo only ! Disons que lorsque la douleur est apparue lors de la course à Québec, ça m’a rappelé de mauvais souvenirs. Mais ca semble good cette fois
Après avoir laissé la poussière retomber, le retour sur l'après marathon Lévis-Québec me laisse de bons souvenirs. C’est certain que j’ai trouvé ça long vers le 25 ieme km. Que j’ai dû me battre mentalement et que je suis revenu à la réalité que c'est long un marathon etc. etc etc. Mais rien de ça dans mes feelings d’après course. Au contraire, quand je repense à ma course, je me souviens d’avoir eu bien du plaisir avec mes deux comparses, un bon challenge de fin de course. Du plaisir tant au départ qu’à l’arrivée et surtout entrecoupé d’une coupe de niaiseries durant la course. Toujours quelques conneries pour se changer les idées. Je suis incapable de courir sérieux, que voulez-vous. Et ca fait quoi ! Ca fait que j’ai le goût de finir ça au marathon de Toronto. Why not !
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| Avec mes joyeux lurons ! |
J’avais qualifié mon marathon de Québec de « course différente » dans mon dernier blog. Toronto risque lui d’être à l’opposé de celui de Québec. Très à l’opposé ! Non pas un à l’est et l’autre à l’ouest. Mais plutôt......
Comparons pour voir, ça va être plus facile:
Comparons pour voir, ça va être plus facile:
Toronto et sa marée humaine au départ. Soit environs 15,000 coureurs au départ (21km et 42km au même départ) contre 1200 coureurs à Québec. Incomparable comme feeling de départ. Quand le départ est donné, on sent vraiment que l'on est embarqué dans une grande aventure.
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| Marée humaine de Toronto |
Toronto, près de 150,000 personnes pour encourager les coureurs tout au long du parcours contre quelques personnes à Québec, incluant les quelques chiens qui branlent la queue sur la piste cyclable (Ce n’est pas pour dénigrer les supporteurs de Québec, mais franchement rien, mais vraiment rien de comparable !!!!)
Toronto, parcours des plus rapides, très plat (je n’ai pas dit ville plate, mais plat ;-) et très frais en octobre. Québec, où une côte n’attend pas l’autre et sa chaleur du mois d’août, OUFFFF !
À Québec, souper avec de la famille la veille, mes fidèles supporteurs pour m’accompagner (et même mon chauffeur privé !), des amis de courses et Jocelyne en prime !
À Québec, souper avec de la famille la veille, mes fidèles supporteurs pour m’accompagner (et même mon chauffeur privé !), des amis de courses et Jocelyne en prime !
À Toronto, j’y vais seul. Seul pour y aller, seul pour souper, seul pour courir et seul à l’arrivée ;-(.
A Québec, course tranquille. Se refaire le moral, la confiance. Pas de montre, pas de chrono…
Toronto, vais-je essayer de battre mon record, prendre une chance de partir et de courir à mon max pour une fois ! Quitte à ralentir si ça ne marche pas ! A voir….
Pour Toronto, je vous propose un marathon photos. Tant qu’à être seul, Je vais vous amener avec moi et vous faire vivre toute la fin de semaine de course. Voir à quoi ressemble un "race" week-end vue par un coureur! Je ne suis pas très selfie mais je vais me forcer. Même à la limite du ridicule, juste pour vous ;-)
On va essayer de profiter au MAX de cette super belle course qu’offre Toronto. J’y retourne pour son SUPER BIG happening. Probablement pour la dernière fois. Il y a 6 grands marathons au monde (Berlin, Tokyo, Londres, Boston, Chicago et New-York) . Il y a 30 marathons classés GOLD au monde. Non je ne vais pas vous les énumérer. Mais Toronto est l’un des GOLD de ce monde (Une classification GOLD signifie la qualité de l’organisation, la taille, l’happening, le site, la sécurité etc..). Je ne qualifierai pas le parcours de Toronto plus beau que celui d'Ottawa, mais pas loin (pour le premier 21k il est dur à battre).
Mais que voulez-vous, on est un peu comme ça les coureurs de marathons. On aime ces grosses courses, les grosses ambiances. Le caractère festif nous donne de l’énergie. La ville appartient aux coureurs. Les rues sont à nous. C’est un peu notre fds de F1. De plus, les classes sociales sont invisibles. On ne peut pas arriver et faire son « M’as-tu vue » avec un vélo à 15,000$. On a juste une paire de souliers de course à 200$ et une camisole pour se déguiser. Pas vraiment de gros fit-kit de frais chier. Que tu sois médecin, artiste, vedette ou juste moi, il n’y a que tes jambes et ton sourire pour te démarquer. Et c’est rarement les plus gros bras qui arrivent les premiers !
Mais que voulez-vous, on est un peu comme ça les coureurs de marathons. On aime ces grosses courses, les grosses ambiances. Le caractère festif nous donne de l’énergie. La ville appartient aux coureurs. Les rues sont à nous. C’est un peu notre fds de F1. De plus, les classes sociales sont invisibles. On ne peut pas arriver et faire son « M’as-tu vue » avec un vélo à 15,000$. On a juste une paire de souliers de course à 200$ et une camisole pour se déguiser. Pas vraiment de gros fit-kit de frais chier. Que tu sois médecin, artiste, vedette ou juste moi, il n’y a que tes jambes et ton sourire pour te démarquer. Et c’est rarement les plus gros bras qui arrivent les premiers !
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| Le Big happening de Toronto !!! |
Bon c'est pas tout. Faut finir les rénos à la maison et continuer l'entraînement des longues distances.
Mais entre les deux, ben il y a la chasse !!!
Mais entre les deux, ben il y a la chasse !!!
On se reparle après mon marathon et je vous promets des tonnes de photos
