Super Jean, mon beau'f super supporteur ! |
Je serai accompagné par ma belle
Jocelyne et mes valeureux supporteurs Sylvie et Jean.
Ca c'est ma p'tite soeur à moi. |
Et oui, un autre 42k a affronter.
42k c’est une longue distance et chaque kilomètre a quelque chose d’unique.
Au départ, c’est l’euphorie,
l’excitation d’affronter la distance mythique du marathon. Vient ensuite
le challenge mental qui commence quand on passe le 20 ieme kilo. Les
douleurs et les crampes du 30 ieme et le défi mental pour terminer la course.
Reste ensuite pour finir la délivrance
et l’extase des derniers 500 mètres. Les
derniers 500 mètres qui passent
trop vite. Le feeling de la ligne d’arrivée et de l’accomplissement qui
passe et disparaissent en ces trop rapides quelques secondes du finish
line. Il faut donc apprécier chaque kilomètre avec joie (et douleurs) car
chaque kilo que l’on passe sont derrière nous et ne reviendront plus ;-)
C’est fou comme la première chose que je
veux quand je fini un marathon, c’est ma médaille. C’est la seule chose
qui me restera une fois les crampes disparues comme souvenir de mon défi avec
moi-même. D’avoir défier le 42.2k avec les obstacles du parcours (trous,
chaleurs, cotes), ses poisons (et j’ai nommé l’acide lactique !), ses pièges (
et oui, le fameux mur du 30k !) et résisté à l’abandon à chaque fois
que mon corps me demande d’arrêter.
J’ai lu quelque part qu’un
marathon c’est 75% mental et 25% physique. Ben je crois qu’il a avait
raison.
Il y a ce quelque chose au trois quart de la distance qui te fait
toujours surgir la question « Pourquoi je fais ca !!!! » Et
c’est à ce moment que tu réussi ou tu abandonnes. Mais l’abandon n’est
pas une option.
On se revoit au fil d’arrivée !!!
Pour nous deux mon bébé !